à propos del'art de bonne et seure medicine
Retour
ERASMUS (Desiderius)
Encomium matrimonii per Des. Erasmum Rot. Encomium artis medicae per eundem [Pref.J. Frobenii].-[Basilae, Apud Ionnaem Frobenium, nov. 1518].- 4¡, 199 mm, 52 [i.e. 55-1] p. sign. A-G4, titre dans encadr.gr.s.b., marque typ. à la fin, empreintes: rula asad u&t, sisu(3) 1518
[Fonds Adamoli.-Vander Haegen p.84; Heckethorn p. 100 n¡ 96; De Reuck 195]

B.M. Lyon Rés. B 491 047

On sait tout ce que Rabelais doit à Erasme, humaniste qui s'est intéressé à un grand nombre de disciplines. L'éloge de la médecine participe de ce travail de revalorisation littéraire d'un "art" qui s'occupait avant tout de l'homme, dans la mouvance de ce qu'on appelait l'humanisme. L'éloge du mariage chrétien faisait partie des thèmes favoris d'Erasme: le genre de l'éloge lui-même revenait à la mode, sous l'influence des nouveaux traités de rhétorique.

Chapitre 23, p.136: l'art de bonne et seure medicine


Retour