INSTALLATION
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L'installation est nécessaire,
lorsqu'on utilise le logiciel THIEF pour la première fois. Quoique
la plupart des fonctions se contentent du CD-ROM, certaines (notamment celles
qui sont en relation directe avec FRANTEXT) mettent en cause le disque dur,
pour y entreposer des résultats et des fichiers, ou pour y puiser
des ressources, par exemple un navigateur, un tableur ou un éditeur.
Il faut préciser une fois pour toutes où se trouvent les ressources
associées au présent logiciel. Quand ces précisions
sont fournies, un fichier les garde en mémoire pour les séances
ultérieures. Si ce fichier de paramètres n'existe pas ou si
ses informations sont devenues fausses, l'utilisateur est averti qu'il a
à solliciter le bouton INSTALLER. Ce bouton met à l'écran
le dialogue suivant:
Si les paramètres ne conviennent pas, on répondra NON et plusieurs
dialogues inviteront l'utilisateur à fournir l'emplacement où
se trouvent les outils dont il a besoin. La plus essentielle de ces ressources
est le logiciel de navigation. Le nom qui est fourni, NETSCAPE, correspond
au navigateur le plus courant. Mais on peut lui substituer celui qu'on veut,
par exemple Microfoft Explorer. Il en est ainsi du tableur, qui n'est pas
nécessairement EXCEL, et dont l'emploi n'est que facultatif.
Recherche du navigateur
Recherche du tableur
On peut ajouter à la panoplie un éditeur, par exemple NOTEPAD.EXE
de Windows. Mais cette information n'est exigée que lorsqu'on sollicite
le bouton EDITER.
Le logiciel THIEF se réserve un répertoire sur le disque dur,
pour y recevoir des résultats et des exemples, et aussi pour y entreposer
des fichiers de référence dont il peut avoir besoin (par exemple
le fichier MODELE.TXT dans la version Windows) ou même des programmes
peu volumineux (par exemple ANCORR.EXE dans la version Windows, ou le dossier
ADDAD dans la version Mac).
Quand le transfert est terminé, la liste des fichiers d'exemples
disponibles est affichée à l'écran, avec une typologie
conventionnelle des suffixes: .CHR pour les fichiers relatifs à la
chronologie, .AUT s'il s'agit d'une répartition par auteur, .LST
si le fichier est destiné à constituer une colonne d'un tableau,
.VOC si l'on a affaire au vocabulaire d'un texte, .COR si le fichier contient
des corrélats. En réalité ces suffixes sont facultatifs
et l'utilisateur est libre d'appeler ses fichiers comme bon lui semble (en
respectant toutefois les règles du système dont il se sert,
par exemple la limitation du nom à 8 caractères dans l'environnement
Dos et Windows). Mais suivant le type d'interrogation de FRANTEXT, les fichiers
n'ont pas le même format et l'on devra éviter de proposer à
une fonction de THIEF un fichier-résultat obtenu pour une autre fonction.
En de tels cas, l'erreur est inévitable. Une autre erreur commune
est de ne pas respecter l'emplacement attendu des fichiers et des répertoires
- qui ne doivent pas sortir d'un cadre préétabli (C:\THIEF\
pour la version Window, Dossier THIEF pour la version Mac).
Les fichiers dont la liste est ci-dessous sont ceux qui ont servi d'exemples
dans notre base. Chaque fois en effet qu'une fonction propose un écran
vide, le bouton rouge "exemples" incrusté dans le titre
de la page permet d'afficher une illustration de la fonction en question,
avec des données empruntées à Frantext.
Un dernier avertissement est enfin affiché, avant qu'on ne retourne
au menu principal. Noter que l'installation n'est nullement rédhibitoire.
On peut la modifier en activant derechef le bouton INSTALLER.
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